BAND
Mogan Cornebert - batterie
Emeline Fougeray - basse
Marie Moreau - chant
Yacine Aït Amer - guitare
CONCERTS
A PROPOS
Raconter des histoires à travers la musique
Le nom Panem vient de la locution latine panem et circenses (du pain et des jeux du cirque), expression qui la dénonçait l’évergétisme des empereurs romains : l'usage délibéré de distributions de pain et d'organisation de jeux dans le but de flatter le peuple afin de s'attirer la bienveillance de l'opinion populaire – ce qui persiste encore dans le Zeitgeist actuel.
Exercice périlleux mais inévitable que celui de se catégoriser, définir voire revendiquer l'appartenance à tel courant musical sans s'y sentir à l'étroit. On dit de nos chansons qu'elles racontent des histoire, sur une toile indie rock dans le son et l'énergie, progressif dans l'ouverture, les ambiances et les textures.
La somme des influences et des voyages musicaux de chacun donnent une musique protéiforme : la somme des multitudes.
Lancé fin 2018, Panem a sorti son premier album Zeitgeist / Absolute Monopoly en septembre 2020.
"Dans ses premiers effets, Zeitgeist / Absolute Monopoly apparaît comme une œuvre rock mélodique bercée par la mélancolie du hasard et du destin. Une forme qui, d’ores et déjà respectable, dissimule des trésors de créativité et d’ingéniosité, en plus de reposer sur une production d’une incroyable limpidité. Un premier essai qu’il est impossible de rapprocher d’une quelconque influence, les détails qu’il cache puis révèle sans crier gare imposant une lecture et une écoute actives et mobilisant tous nos sens.
PANEM grave ses émotions sur les sillons limpides d’une composition dont les niveaux se succèdent dans une logique éblouissante, entre progressif et harmonies vocales et instrumentales soignées. Des sonorités synthétiques du titre éponyme aux montées gravitationnelles de « Breathe, Pretender » et « Face Tomorrow » (ce dernier faisant montre d’une extrême maîtrise technique, toujours au service des compositions et sans exhibition exagérée ou vaine de capacités pourtant étonnantes), Zeitgeist / Absolute Monopoly est une pure béatitude, s’autorisant même une dérive sensorielle immense et directe (« Something I Don’t Know ») avant d’opérer la quintessence de son art sur l’ultime « The Empty Man », réceptacle de futurs diamants qu’il nous tarde d’admirer.
Une sculpture chorale prouvant l’entente de tous les instants de celles et ceux qui lui ont donné naissance, avec passion et détermination. Des tableaux emplis de mouvements incessants, que nous vous invitons à scruter dans leurs moindres détails."
Raphaël Duprez - PUNKTUM
"Très technique et mettant l’accent sur les mélodies, PANEM propose un Rock Progressif très riche et particulièrement bien arrangé. Ce premier mini-album, « Zeitgeist/Absolute Monopoly », est aussi court qu’il est bon. Six morceaux qui font vraiment du bien !
Lumineux est probablement l’adjectif qui convient le mieux au premier mini-album de PANEM. C’est entre Tours et Nantes que le groupe a vu le jour sous l’impulsion de son guitariste et compositeur Yacine Aït Amer il y a deux ans. Jouant la parité, Marie Moreau (chant), Emeline Fougeray (basse) et Mogan Cornebert (batterie) viennent compléter ce beau quatuor.
L’identité musicale du groupe s’articule autour d’un Rock Progressif légèrement Pop mais aux rythmiques appuyées et au groove infaillible. Dès le morceau-titre, PANEM affiche un style très personnel et littéralement porté par sa chanteuse (à l’anglais impeccable) tout en feeling et capable de s’engouffrer dans des registres aussi bluesy que haut perché (« A Line in the Sand », « Something I Don’t Know »).
Très mélodiques, les titres s’enchaînent parfaitement avec de fins crescendos (« Breathe Pretender », « Face Tomorrow »). Très soignée, la production sert des morceaux très bien arrangés aux harmonies vocales tout en émotion et en finesse et des guitares floydiennes. Ce premier mini-album de PANEM laisse entrevoir un bel avenir au groupe tant la maîtrise est évidente (« The Empty Man »). Un régal !"
François Alaouret - ROCK 'N FORCE